TEST

PREMIERE NOM : (facultatif)

1. Situez chronologiquement ces auteurs en indiquant dans les parenthèses à quel siècle ils appartiennent :

Apollinaire ( ) Ronsard ( ) Chateaubriand ( )

Flaubert ( ) Rousseau ( ) Corneille ( )

Proust ( ) Hugo ( ) Du Bellay ( ) Zola ( )

Molière ( ) Eluard ( ) Racine ( ) Voltaire( )

2. Il existe différents types de textes : narratif, descriptif, argumentatif... Indiquez en face de chacun des textes suivants à quel type il appartient essentiellement.

3. Quels sont les quatre champs lexicaux présents dans ce texte ?

Crépin 23

Les souvenirs affluaient par longues vagues : toutes les odeurs des bois, l'âcreté du terrain mouillé sur quoi fermentent les feuilles mortes, les effluves légers des résines, l'arôme farineux d'un champignon écrasé en passant ; tous les murmures, tous les froissements, toutes les envolées dans les branches, les fracas d'ailes traversant les futaies, les essors au ras des sillons ; et tous les cris des crépuscules, la crécelle rouillée des coqs-faisans, les rappels croisés des perdrix, les piaulements courts des tourterelles, et déjà, dans la nuit commençante, ce grincement qui approche et passe à frôler votre tête avec le vol de la première chevêche en chasse.

champ 1 .................................................

champ 2 .................................................

champ 3 .................................................

champ 4 .................................................

4. Mettez en relation chaque figure de style avec l'exemple correspondant :

métonymie Va, je ne te hais point.

anaphore la ville-Lumière

litote Et ce champ me faisait un effet singulier;

Des cadavres dessus et dessous des fantômes;

chiasme A vingt ans, deuil et solitude.

ellipse C'est un envoyé de l'Elysée.

périphrase Trouver des mots forts comme la folie,

Trouver des mots couleur de tous les jours,

Trouver des mots que personne n'oublie...

5. Rétablissez la ponctuation et les majuscules :

qui ne se souvient de ce mot de victor hugo porteur de toute la générosité du XIXème siècle ouvrez des écoles vous fermerez des prisons la déconvenue a été sévère pourtant il ne viendrait à personne l'idée de regretter ni de remettre en cause l'option fondamentale prise alors la généralisation et la prolongation de la scolarité sont facteurs de progrès pour la collectivité et garantie de justice entre les hommes mais pour certains enfants la prolongation de la scolarité s'est accompagnée d'une sorte de désocialisation ses formes sont la passivité l'absentéisme le vandalisme et parfois les conduites d'auto-destruction

6. Indiquez pour chacune des "écoles" ou des "mouvements" littéraires suivants le siècle pendant lequel il ou elle s'est développé :

7. Rétablissez l'orthographe correcte dans ce texte :

Opérations : des oublis fâcheux

Sur les millions d'opérations chirurgicales réalisées chaque année, combien y-a-il d'objets oublié dans le corps du malade ? C'est la question qui vient tout naturellement à l'esprit après une intervention. Les chirurgiens n'aiment pas beaucoup évoquer un sujet qui met directement en cause leur responsabilité et peut nuire à leur réputation. Entre eux, ils continuent d'employer pudiquement l'expression latine de "corpus alienum".

Pourtant, ils ont abordés ouvertement le sujet au cours d'une table ronde organisée au 86ème congrès français de chirurgie, qui se tient à Paris au Palais des Congrés. Parmi les "objets oubliés au cours d'opérations" on a retrouvé diverses pièces métalliques, jusqu'à des pinces de la taille d'un petit stylo, des compresses, des aiguilles entières ou cassées. Expert en la matière, le docteur René Husson du Sou médical, la plus ancienne mutuelle d'assurance des médecins, s'est penchée sur le dossier des litiges instruit par sa compagnie au cours des vingt dernières années pour étudier la fréquence de ses "oublis". Sur 8000 dossiers, seuls 180 portent sur ses corps étrangers. "Compte-tenu des millions d'interventions chirurgicales correspondantes, c'est la rareté des corps étrangers qui doit être souligné", affirme René Husson.

Au début du siècle, souligne le docteur Louis René, chirurgien à Paris et membre du conseil nationale de l'Ordre des médecins, la fréquence de ces oublis, estimée à un sur 5000, était élevée. Aujourd'hui, on n'est plus attentif pour prévenir les oublis. Les compresses, les instruments sont comptés avant et après l'opération. Une radiographie de contrôle post opératoire permet de repérer un éventuel objet métallique.

Quand une aiguille casse, où qu'un fragment de vis reste dans l'os, déjà consolidé avec d'autres pièces métalliques, le chirurgien peut décider de ne pas tenter de l'enlever. Il peut en effet considérer que le risque d'une nouvelle intervention n'est pas justifié, dans l'interrêt même du malade. Mais il doit prévenir son patient de la présence de cette pièce insolyte.

8. Indiquez en face de chaque citation

• son auteur ;
• le mouvement littéraire dont on peut la rapprocher.

auteurs : Verlaine Lamartine Du Bellay Char Racine

Nerval La Fontaine

mouvements ou genres :

Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ;

Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ;

Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ;

Je sentis tout mon corps et transir et brûler;

Je suis le ténébreux, - le veuf, - l'inconsolé,

Le prince d'Aquitaine à la tour abolie :

Ma seule étoile est morte, - et mon luth constellé

Porte le Soleil noir de la Mélancolie.

Las ! Où est maintenant ce mépris de Fortune ?

Où est ce coeur vainqueur de toute adversité,

Cet honnête désir de l'immortalité,

Et cette honnête flamme au peuple non commune ?

Dans les rues de la ville il y a mon amour.

Peu importe où il va dans le temps divisé.

Il n'est plus mon amour, chacun peut lui parler.

Il ne se souvient plus : qui au juste l'aima ?

Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire,

Que les parfums légers de ton air embaumé,

Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire,

Tout dise : Ils ont aimé !

Le ciel est, par-dessus le toit,

Si bleu, si calme !

Un arbre, par-dessus le toit,

Berce sa palme.

J'ai quelquefois aimé: je n'aurais pas alors

Contre le Louvre et ses trésors,

Contre le firmament et sa voûte céleste,

Changé les bois, changé les lieux,

Honorés par les pas, éclairés par les yeux

De l'aimable et jeune bergère

Pour qui sous le fils de Cythère

Je servis, engagé par mes premiers serments.

Quel est le point commun de l'ensemble de ces extraits ?

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Si vous deviez commenter l'un de ces textes, lequel choisiriez-vous et pourquoi  ?

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Production du groupe Lettres

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